mardi 6 mars 2018

Un peu perdu.

Y a des matins où je me demande bien de quoi je pourrais parler. C’est vrai, y a tellement de choses dont je voudrais discuter. Quand vient le temps, des fois je m’en rappelle pu. Ou bien, les hamsters sont tellement en feu qu’ils me font de l’interférence! Je me souviens à une certaine époque, j’écrivais plusieurs fois par jour, et, quand «l’attaque» des hamsters survenait, je mettais de la musique pour en occuper quelques uns, et ça me laissait un peu de latitude pour écrire. Bien sûr, j’avais plus d’énergie qu’aujourd’hui, mais je me gardais pas mal fatigué... C’est un autre sujet! Mais la musique a toujours été mon compagnon. Depuis le secondaire que je me discipline à coup de chanson. Cela me donne des points de repères, me guide et me rappelle aussi mon humanité. Et c’est important de s’en rappeler chaque jour; nous ne sommes pas des êtres immortels, aux pouvoirs magiques! Nous avons une vie à vivre, plus on la vit dure, plus elle sera dure. Rien ne sert de remettre à plus tard, ça va nous rattraper! Il faut entretenir son corps comme une mécanique. Il durera plus longtemps et sera plus fiable. Bien sûr, nous ne sommes pas tous égaux, ça peut créer des fossés, mais c’est aussi merveilleux d’être différents. Nous sommes les pièces d’une machine extraordinaire! Ensembles, nous pouvons accomplir tant de choses! Mais il faut accepter ce fait et vivre en amour. Une des choses que je me souviens, c’est mon entrée à l’école. J’ai compris que les autres pouvaient être méchants. Que certaines gens n’acceptaient pas de vivre en harmonie avec les autres. Selon leur éducation, leur mode de vie ou encore leur parcours, ils sont différents. Souvent tristes, pauvres ou traumatisés, ces gens ont besoin d’être aimés, mais parfois, impossible de les apprivoiser. Cela me rappelle tellement de choses, j’ai eu tellement de peine en rapport avec des personnes ainsi faites. Mais bon, ce serait un bon sujet pour une prochaine fois. On s’en reparle.

Aucun commentaire:

Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...