Le retour du pendule

Encore moins dix-huit ce matin! La zone congélateur, c’est ici! On survit malgré tout, car c’est l’année la plus merdique que j’ai vécue! D’accord, 2013 fut une année horrible, mais c’était triste, impossible à comparer avec l’insolence de 2020! Et puis, le malheur de 2013 était personnel à ma famille. Depuis le mois de mars, tout ce que nous avons vécu, nous les sacrifiés du Québec, est une aberration monstrueuse! Enchaînés par des menaces, impossible de s’en sortir. Et comme nous étions chanceux d’avoir un boisé derrière pour se sentir plus intime, eh bien il a disparu! Toute des troutes! Voilà! Le projet en cour derrière chez nous est aussi une insulte, mais je n’y peux rien, car ce n’est pas chez moi. N’empêche, les assoiffés de taxes ont encore gagné! Une autre gang de troutes! Je n’arrive pas à comprendre pourquoi tout ça arrive! Que dois-je y apprendre? Sacrament, que peut-on faire? Nos dirigeants se sont assurés de nous ruiner comme il faut avant d’agir! Maintenant que nous tous bien délestés de nos avoirs, le régime communiste s’installe et nous sommes toujours sans moyen, sans solutions devant les menaces! Car oui, nous sommes assiégiés devant un gouvernement qui se prend pour dieu le père, ne reculant devant aucune insulte, aucun moyen, si bas soit-il, pour nous garder «enfermés». Quand nous sommes passés aux urnes, rien ne pouvait nous prévenir d’une telle supercherie! Comme le Maîîtrrre, monsieur Le gros nous a berné, il nous a menti, manqué de respect. Maintenant nous sommes pris au piège devant la menace! Dernier vendredi de travail de l’année, je me considère chanceux de pouvoir travailler un peu. L’année n’aura pas été la meilleure, mais je suis en vie. Dépité de tous ces événements, ruiné par la force des choses, je pourrai finir l’année la tête haute. Et les responsable de mon malheur, de notre malheur, auront droit au retour du pendule! Et un gouvernement qui encourage la délation a perdu l’entièreté du respect que je suis prêt à donner à quelqu’un! Passez le mot, je suis peiné, brisé par les circonstances. Nous avons été bafoués par un système qui a faim, un système qui se fout complètement de ses citoyens! Un groupe de personnes qui pensent qu'être élu, c'est devenir membre d'une royauté! Pourtant, votre salaire vient de vos citoyens. Attendez-vous à vous faire bafouer!