lundi 28 décembre 2020

Neuf mois.

Quelle journée difficile pour moi. Il n’est pas encore midi et je sens que je vais éclater! La chaîne me débarque un peu. Pourquoi des gens vont espionner d’autres gens pour rapporter leurs faits et gestes dans le journal? Qu’est-ce que ça va donner? Les gens qui sont partis dans le sud vont devoir respecter les mesures mises en place à leur retour! Quand quelqu’un sort de prison après avoir purgé sa peine, il est «libre», il a le droit de vivre en communauté avec les autres! On dirait que vous voulez les accuser de vouloir vivre! Vous faites tellement peur au monde, que les gens aiment mieux s’empêcher de vivre, parce qu’ils ont peur de mourir! Ou bin ils ont peur des amendes imposées par le gouvernement! Quelle endroit malsain pour le coco! Qui voudrait demeurer dans un endroit pareil? Voyons! Ça fait neuf mois que vous nous traitez comme du bétail! Et vous êtes chanceux que les gens ne se soulèvent pas plus! C’est sûr que vous avez bien préparé le terrain depuis des années en gardant les gens pauvres financièrement! Personne n’a les moyens de sortir protester, sous peine de devoir payer les sommes dont vous nous menacez! Vous me levez le coeur, vous me faites pitié. Occupez-vous des dossiers qui pressent et arrêtez de dire aux gens que c’est de la faute des autres! Vous êtes une bande d’autruches! Comme je l’ai déjà mentionné récemment, pourquoi ne pas tous nous exécuter tout de suite? Vous auriez carte blanche pour vos projets, et personne ne les remettrait en question! Bref, je me sens oppressé, surveillé de toutes parts; le poids de vos insultes, la douleur de votre manque de respect me déchire! Allez donc prendre des vacances très loin! Je suis tanné de votre convergence, épuisé par vos menaces! L’insulte a assez duré!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...