vendredi 13 mai 2022

C’est la réalité.

Il fait quatorze degrés. Je me suis levé un peu plus tard. Je me suis installé dehors pour écrire. Le bruit urbain est vraiment très présent! Je me demande si tout ça n'a pas augmenté. Mais une chose est sûre, le fait d'être dehors, c'est merveilleux! Il y a des oiseaux aussi, ces compagnons sonores, qui viennent agrémenter nos vies! Et bien sûr, il y a le vent, un vent frais, très loin d'une canicule... Depuis la coupe complète de la forêt derrière, le vent est omniprésent! Et c'est vraiment chiant! Je me sens très vendredi, mon fatigomètre clignote, il me dit de me reposer. Je me sens prêt pour prendre des vacances. J'ai le goût de prendre plus de temps pour moi. Cette semaine, j'étais triste de constater que le temps passe de plus en plus vite, que je vieillis, que le temps qu'il me reste diminue toujours. C'est inévitable, c'est la réalité, mais des fois, j'ai peur; j'ai peur de manquer de temps! Les perspectives d'activités, les façons de rester heureux, deviennent de plus en plus rares... Et il faut absolument que je réussisse à rester concentré sur mes priorités, car je me sens facilement distrayable. Les merdias continuent de marteler des tas de trucs sur le climat, le fait de sauver la terre, etc. Donc se sentir vendredi, c'est une prorité; vivre ce vendredi, c'est primordial!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...