Contrôle

Mercredi matin, il fait 11 degrés. Très frais, comme beaucoup de journées de cet étrange été. Hier, il a mouillé pas mal, mais toute sortes d'averses isolées; Lundi aussi! Hier j'ai installé mon nouveau radio dans mon camion. Quelle satisfaction! J'ai aussi fait un traitement Aquapel sur le pare-brise du Volks! Mais la pluie était tannante, car il semblait impossible de faire quelque projet que ce soit, car le temps sans pluie n'était pas assez long! Je suis en train d'écrire dehors, mais je pense bien que je vais rentrer, car il fait trop froid. Quand je pense à ça, ça m'attriste un peu; Depuis le début de nos vacances, il n'y a eu que 3 jours sans pluie. Mais nous avons un souper avec Simpson et Karine ce soir. Un autre demain soir, chez Patricia et Mario. Le chant des oiseaux est très timide ce matin, et il me semble qu'il y a plus de voitures que mes premiers jours de vacances. Mais les vacances de la construction, c'est de plus en plus «dilué». Les gens font ce qu'ils veulent et ils composent avec leur travail, les enfants, et les services de garde... Une autre folie instauré par le gouvernement. Un trou sans fond de dépenses, mais aussi une prison pour les parents. Car tout le monde pense qu'ils doivent faire garder leurs enfants, comme ça leur prend un date pour mettre les pneus d'hiver! Pas moyen de se sortir du carcan gouvernemental! Et depuis la supercherie, les jeunes parents en ont eu plein les bras avec leurs enfants, qui étaient à la maison du matin au soir; moi je trouve ça normal, mais dans la vie d'aujourd'hui, personne ne peut travailler en ayant ses enfants à la maison. je pourrais me lancer dans un essai littéraire à ce sujet, mais pour l'instant, je me contente de dire ce qui me passe par le tête. Alors les parents d'aujourd'hui ne peuvent travailler tout en s'occupant de leurs enfants. Ils sont épuisés, ils sont «programmés» pour faire leur vie, et on dirait que ça va s'empirer encore un peu. L'inflation, les taux d'intérêt, ça commence à être serré les fins de mois. Et lorsque je lis certains petits bouts d'actualités, je me rends vite compte que nos dirigeants et ceux qu'ils subventionnent aimeraient beaucoup avoir encore plus de contrôle sur nos vies. Donc je resterai travailleur autonome le plus longtemps possible! J'ai les doigts gelés! Vivre ici, dans l'ancienne belle province, c'est accepter son climat, mais c'est surtout constater sa déchéance! Mais qui vivra, verra! À plus!