Une personne qui doit écrire ce qui déborde dans sa tête et dans son coeur. Car vivre au pays de la grande supercherie, devient, jour après jour, de plus en plus difficile...
vendredi 4 août 2023
Je vais bien
16 degrés ce matin. Après une soirée très agréable à Ste-Anne-de-Beaupré, de laquelle nous sommes revenus un peu avant 2 heures du matin, force est d'admettre que de déguster plusieurs bières, ça fait brasser le dedans en sacrifice! Non pas que je sois ignorant face à ce genre de phénomène, mais comme le souper se voulait un bière saucisse, alors il fallait goûter un peu de des bières! Mais quelle soirée extraordinaire! NOus avons joué à «codenames» version Harry Potter. Et souper dans une famille où il y a 5 enfants adultes qui demeurent encore à la maison, c'est plutôt rare. Encore un matin gris, frais, très sombre. Nous partons aujourd'hui pour un 3 jours de cyclo-camping. La grisaille finira bien par s'en aller. Pas besoin de météorologue pour nous dire que nous avons un été poche, très poche. Il n'est pas fini, mais disons que depuis le début de nos vacances, les journées qu'il n'a pas mouillé se font rare. Et c'est bien malheureux. Heureusement que nous avons pris 3 semaines, histoire de pouvoir profiter au maximum des quelques journées de beau temps qui se sont insérées dans nos vies! Mais hier soir, il eut été vraiment clément de la part de mère nature de nous laisser entre amis profiter d'une soirée extérieure. Mais il faisait froid, la pluie tombait fort, isshh!! Pour le reste, je vais bien, je commence à me demander à quoi ressemblera l'automne; un été poche, un printemps poche...Ouin! Mais pour ce qui est de l'actualité, difficile d'en parler tellement je suis dans un autre monde. COmme lorsque nous avons dîner au Café du Marché, dans le vieux St-Romuald. J'avais l'impression que le temps s'était arrêté, que j'étais dans une ville quelque part, ailleurs qu'ici, ou la police du fun sévit. C'est sûr, je m'ennuie un peu de m'entraîner, mais aussi, lorsque je recommencerai, je vais trouvé ça dur; sans oublier la grande noirceur, qui se perpétuera jusqu'au moib de novembre, ou lorsque je rangerai mon vélo de route. Et cette noirceur, quelle atrocité! Avec tous les matins sombres que j'ai connus depuis ma sortie en mais, j'ai bien hâte de voir comment je prendrai ça. Mais pour le moment, j'ai le coeur qui vit pour la continuité des vacances, et je croise les doigts pour que nous ayons un peu plus de beau temps.
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