Partager de bons mots

Il fait 12 degrés avec un petit vent du nord qui fait vraiment chier! Je suis tout de même dehors, culottes longues pour m'aider à ne pas geler trop vite! HIer, j'étais tellement pas content du 9 degrés... Mais ce matin, c'est plus endurable! Ma Bibi est sur son vélo de spinning. Hier, j'ai donné la claque sur le char à Mamour. J'ai réussi à enlever les pare-pierres, nettoyer la colle, quelle écoeuranterie! Ensuite une bonne cire et des retouche de peinture. Ça m'a pris une demi-journée! Et après le dîner, j'ai tondu. Simonac que le gazon en avant fait pitié... Je commence à avoir des craintes concernant le party de fête de ma douce; une ombre s'installe au tableau, une histoire de vaccin, un mauvais roman où les gens portent un esti de masque... Je veux seulement que des gens se rencontrent dans un moment précis, pour partager de bons mots, souligner les 50 ans de ma Bibi! Demain, il annonce 17 degrés comme maximum...pourtant le mois d'octobre, ce n'est pas tout de suite. Incroyable comme cet endroit peut m'horripiler...Nous recevons Alain et Danielle! Le vent est vraiment tannant! La nature est sans pitié pour nous cet été; la pluie, un printemps interminable, un automne trop tôt...Ça me fend quelque part, très creux! Mais une chose est sûre, je ne veux pas être à nouveau prisonnier de ce régime autoritaire, cette insulte à l'être humain! Je ne peux reprendre le temps que ces gens m'ont enlever, mais j'ai remarqué que j'ai changé des choses, comme continuer sur la lumière jaune au lieu d'arrêter. Je n'ai plus de temps à perdre! Et comme celui qui est passé ne reviendra pas, que je ne peux pas le récupérer, alors je tente de sauver du temps au maximum. Encore une fois, j'ai trouvé ça dur de pédaler ce matin, conter la grande côte de l'aéroport, mais je vais m'améliorer! Anyway, quel autre choix s'ouvre à moi? Je peux rester sur mon steak, prétendre que j'en ai assez fait, que je suis fatigué, ou bien je me retrousse les manches, et j'avance avec un sourire! Je sens mes doigts qui gèlent, je suis un peu scandalisé de la situation... Une chose est sûre, je dois rester la tête haute, ne jamais baisser ma garde, ce gouvernement, aidé par les merdias qu'il paient, veut nous appauvrir jusqu'à ce que lui-même n'ait plus rien! Alors je continue d'avancer, un jour à la fois.