mardi 22 mars 2016

Ouf, mêlé le gars!

La délivrance d'écrire. Les gens se malmènent entre eux. Dans notre société chacun pour soi, rien ne compte plus. Rien n'a plus de valeur. Les gens jettent tout. Ils ont jeté la religion, du même coup, les valeurs. Mais les gens continuent de jeter. Leur conjoint, leurs enfants, sans oublier leurs amis. Les choses qui semblent plus importantes sont les loisirs, les joies éphémères. Comme ça, pas besoin de s'engager, de tenir des promesses. Pas obligé d'être fiable. Et cette attitude se reflète partout au quotidien! Les gens veulent avoir tout, le plus vite possible, le moins cher possible et payable un peu plus tard. Comme c'est malheureux! Se débattre au quotidien avec ses propres valeurs, dans ce monde où plus rien ne compte vraiment. Après ces mêmes gens se demandent pourquoi certains veulent les anéantir. Parce que ça semble incurable. Ces farfelus s'imaginent quand rayant tout ceux qui abusent qui capitalisme de la carte, la vie reprendra son cour, en paix. Comme ça, après un holocauste digne de celui qu'Hitler a déclenché! Bin voyons! Où il y a des hommes, il y a de l'hommerie. Moi si j'avais à choisir à l'instant ce que je voudrais garder, ce serait ma conjointe et mes enfants. Le reste, on verra après. Peu importe l'après. 
J'aimerais dessiner un peu plus, toutes ces images qui me hantent. Libérer aussi mon esprit de ces visions, aussi riches qu'à mon adolescence. Car je vis des jours, dans mon esprit qui mériteraient d'être non seulement écrits, mais aussi illustrés. L'énergie qui voyage autour de moi m'a toujours fasciné, mais la fin de l'hiver m'a toujours mis à l'épreuve. Le manque de période lumineuse, le manque de soleil. Je veux véhiculer un message d'amour, donner à la vie sa vraie valeur. Il serait facile de mettre tout sur le dos des politiciens, des «greens», mais il faut commencer par soi. Trouver une voie et la suivre. Ensuite bâtir sa vie, choisir d'être heureux. Pour ça, il faut aimer...

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...