mercredi 2 mars 2016

Prise de conscience

CE matin, le vent souffle vraiment fort. Et la neige qui l'accompagne tombe avec abondance. Voir plus de cent pieds devant relève d'un coup de chance. Même ici, dans notre rond point, à l'abri des arbres, le vent réussit à s'introduire. Encore une tempête. Après un hiver somme toute assez doux, voici que la nature nous donne un coup de fouet, comme pour nous avertir qu'elle est toujours là. Ce qu'il reste de la forêt derrière la maison se fait secouer par les rafales, toujours fascinant à regarder. Je sais que ceux qui sont obligés de prendre la route ce matin ne doivent pas la trouver drôle, ni facile. Mais c'est le genre de chose que j'aime regarder doucement, oubliant le temps qui passe. Je trouve cela apaisant. Car au final, je devrais m'y mettre pour ramasser le tout. Même si je viens juste de le faire lundi après-midi. Ça ne fait même pas quarante-huit heures. Aller dehors, sentir la force de la nature a quelque chose de rassurant. Savoir que c'est cette même nature qui survivra, qui continuera, malgré tout ce que les «greeneux» essaient de nous faire croire. J'en ai tellement plein mon cass de ceux-là. Ils savent comment détruire la journée des autres. On dirait qu'ils se lèvent chaque matin avec une nouvelle idée pour faire chier le monde. Ne devraient-ils pas être à l'écoute? C'est là qu'on comprend qu'ils sont comme les autres qui nous gouvernent. Ils sont là pour l'argent. Là je viens de changer de discours. On s'en reparle, l'important, aujourd'hui, c'est de sentir la nature et sa force. Pensez-vous vraiment que vous y êtes pour quelque chose?

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...