mardi 29 mars 2016

Un luxe, ce n'est pas obligatoire

Il devrait y avoir une fin de semaine de quatre jours à chaque mois. Non mais sans blague, quel moyen pas trop dispendieux pour décrocher! Il y a toujours moyen de s'enfarger dans des dépenses, mais ça reste un choix. À choisir entre sortir de la maison, aller en forfait de Pâques quelque part au Québec ou bien aller bruncher en famille, je choisis le brunch. Et j'en profite pour relaxer avec la petite famille. Considérant le fait que le repos est une priorité depuis un bon bout de temps. Rien ne me fera plus plaisir que d'arrêter encore un peu vers la fin du mois. Je me dis, que j'ai gardé mon argent pour mieux  reposer avant la grosse saison. C'est vraiment capital de savoir quelles sont nos limites. Tout ça pour dire que je suis dû pour un petit arrêt. Bien sûr, tout cela est prévu, et il n'est pas question de mettre ces dépenses sur une carte de crédit. Voilà ce qui est dur ces jours-ci. Il est facile d'avoir du crédit. Un crédit fractionné. Mais il est facile de s'embourber dans tout ça, de perdre le contrôle. Je n'oserais pas prendre des vacances à crédit. J'aime mieux garder du crédit pour des choses imprévues, ou encore, essentielles. Mais je réalise qu'autour de moi, rien n'est plus compliqué. Il ne sert à rien de regretter quoi que ce soit, mais certaines choses doivent demeurer luxe, et un luxe, ce n'est obligatoire.   J'en connais un qui pourrait s'inspirer de cette citation. Au lieu d'envoyer des calinours à tout le monde!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...