Qu’est-ce qui me retient?

Aujourd’hui je suis allé voir mon père à St-Georges! Nous avons pris mon camion, pour montrer l’aspect commercial de notre balade. Nous nous sommes stationnnés au Canac pour plus de discrétion. Et, nous avons fait des heureux par notre visite. Incroyable! Dans quelle psychose sommes-nous enlisés? Impossible de se sentir bien ces jours-ci, dans la belle province. Les médias terrorisent ceux qui semblent être tannés de l’oppression gouvernementale, et LeGros encourage les gens à se dénoncer entre eux! Comble de l’incohérence, il vaut mieux aller au Costco, en portant un masque, être des centaines de gens ensembles dans ce gigantesque entrepôt, que de se promener dehors, au maximum avec sept autres personnes, masquées, bien sûr! Il faut composer avec toutes ces sornettes, car il est facile de se rendre compte que nous pouvons être épiés! Et parcourir les réseaux sociaux demande une bonne dose de courage, car les couteaux volent très bas! Et il y a tellement de pièges à cons sur ces plate-formes, difficile d’y voir clair, et encore plus d’y trouver la vérité! Franchement, une chance qu’il nous reste une place pour dormir, car nous serions dans des camps de concentration! Ces derniers treize mois, passés en «Allemagne de l’est québécoise» ont des effets qui commencent à se faire sentir un peu partout! Pénurie d’employés, fermetures et faillites en hausse. Problèmes de santé mentale en forte progression; atteinte aux droits fondamentaux de l’être humain! Et que dire du traitement «inadmissible» que l’équipe de cerveaux en place ont «bricolé» pour nos enfants! C’est cruel, sans jugement, les conséquences seront désastreuses pendant plusieurs années! Je n’arrive pas à croire que nous en sommes encore là! Je sis tanné de me sentir coupable de tout, alors que je suis tranquille comme jamais! Tanné d’être puni parce qu’un gouvernement ne veut pas admettre ses erreurs! Bref, j’aurai payé toute ma vie pour l’ingérence gouvernementale! Qu’est-ce qui me retient? Mon épouse, ma famille, mes enfants, mon travail! Simonac, vous avez terminé mon aversion pour ce terre en une seule année! Vous mériteriez une mention éternelle pour votre médiocrité, mais aussi pour votre échec! Je ne sais pas comment vous faites pour dormir, pour vous endurer, pour revenir chez vous le soir, et vous sentir bien! À votre place, je me sentirais dégoûté de moi-même! Donnez votre démission, même s’il est trop tard... Le mal est fait, et il est installé pour longtemps...!