jeudi 2 mars 2023

Notre voyage à Cayo Santa Maria

Je commence un texte sur notre voyage à Cayo Santa Maria. Pour la première fois depuis 2013, je me suis rendu compte que cet endroit n'était pas comme les autres parties qui forment Cuba. C'était notre troisième séjour sur cette île. Il faut prendre en considération qu'il y a une heure et demi au moins d'autobus, pour se rendre à un resort. Il y a vingt-et-un hôtels sur les trois différents cailloux qui forment l'archipel autour du gros caillou qu'on appelle la république cubaine. J'ai constaté que l'économie était au ralenti, mais la production aussi. Notre site était rempli à soixante-quinze pourcent. Malgré ça, il était possible de sentir un manque de personnel. Sur place, les gens, les employés, sont adorables! Mais ils s'ennuient d'avoir des gens qui leur donnent des pourboires, des cadeaux, mais aussi un travail! Je ne sais pas si ce que j'ai ressenti provenait de ce fait, mais je sentais que le personnel avait besoin de se sentir important, pour ne pas dire essentiel. Moi, j'adore aller à Santa Maria, pour la plage, la couleur de l'eau, la tranquilité, et surtout, le fait d'être seul avec ma Bibi! Cette fois-ci, nous étions en même temps que deux autres couples. À priori, cela m'enlevait le goût d'y aller. Une fois sur place, le beau temps m'a charmé et je me suis senti bien! Mais j'ai déchanté assez vite d'avoir des «amis» autour de nous. Des gens que j'aime bien, mais au quotidien, je me suis rendu compte qu'ils n'étaient vraiment pas en grande forme, qu'ils avaient beaucoup plus de limites physiques que nous deux. Cela est devenu rapidement très lourd. Je me suis surpris à vouloir bougonner! Et là, nous avons parlé, pour prendre position. Nous avons même passé une journée entière de notre côté! Nous avons eu du soleil tous les jours! Beaucoup de vent, beaucoup de vagues! Nous n'avons pas fait d'expéditions. J'ai trouvé ça un peu trop, de donner du pourboire à chaque fois que je mangeais ou buvais quelque chose. Pourquoi ça s'appelle un tout inclus, s'il faut donner quelque chose constamment! Je comprends leur situation, mais je vis aussi la mienne. Je sais, je suis allé en voyage, mais on m'a vendu un tout inclus! Autre chose, les prix. Car oui, il y a des choses que nous pouvons acheté sur place. Tout a augmenté, pas autant qu'ici, mais quand même! J'ai acheté quatre bières pour huit dollars US. Par contre, ces bières, espagnoles, étaient très bonnes! Le coin café, car il était sur un coin du lobby, servait de l'excellent café! C'était notre rendez-vous quotidien, après chaque souper. Pour ce qui est des spectacles, nous n'avons pas réussi à en écouter un en entier, la fatigue nous tirait trop vers de bonnes nuits de sommeil! Il y avait un bar où s'oeuvrait un mixologue; très populaire auprès des mêmes personnes. J'avoue que cet endroit avait son charme, mais une chance que l'endroit n'était pas trop rempli, car c'était un peu exigü. Concernant la nourriture, tout était très bon. Bien sûr, des gens qui s'attendent à manger des choses qu'ils connaissent, bien vous risquez d'être malheureux! Moi je peux vous affirmer que c'était meilleur qu'au Manoir du Lac Delage! Nous sommes allés porter des médicaments à la clinique; nous nous sommes préparés pour une marche de cinq kilomètres, mais elle se trouvait à neuf cent mètres! Alors nous avons continué notre marche vers le Melia. À la clinique, les gens sur place semblaient attendre que des gens arrivent! Quand nous étions allés au Melia, il y avait un petit marché où il était agréable de prendre une marche. Il s'y trouvait un gros bateau et bien des boutiques d'artisanat. Tout ça était fermé! La nature commençait à reprendre sa place, j'ai trouvé ça triste...Quand nous marchions sur la plage, nous avons constaté qu'il y avait des hôtels de fermés complètement. Et pour vous raconter des anecdotes, Joanne a vomi dans l'autobus! Elle a aussi souffert d'une simonac de bosse dans le front, suite à une collision avec le verre de Karine! Et malheureusement, un accident, qui l'affecte encore, à chaque minute de ses journées, elle s'est cassée un orteil sur la plage, en essayant d'éviter une des nombreuses roches, dissimulées dans le sable! AUssi, nous avons réussi à perdre vingt dollars; manipulation distrate, pouf! Disparu! Il y avait un petit coin café où il faisait bon se faire préparé un bon cappucino! Dans le lobbby, un soir sur deux, il y avait un musicien qui se produisait; piano, guitare, saxophone, c'était merveilleux! Un endroit où nous aimerions retourner!

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...