Foutre le camp de la supercherie!

Moins vingt-quatre degrés, hier je me sentais comme un esprit vengeur qui, par ses pouvoir de rédemption, pouvait rejoindre les gens pour leur donner une seconde chance! Wow! Peut-être pas tant que ça, mais au moins je planais au dessus de la supercherie, n'en voulant pas à mon prochain, mais bien plus comme celui qui distribue la bonne nouvelle : il faut s'aimer malgré tout. Le respect mutuel doit revenir au plus vite, la société est malade, tout comme moi. Heureusement, je peux partarger mes humeurs, mes virages étranges, sans faire peur à personne! Écrire demeure une façon extraordinaire de dépeindre tout ça. Dans ma tête, les troupes recherchent sans arrêt une sortie d'urgence, une porte, un trou, une ouverture pour se glisser discrètement, foutre le camp de cette supercherie! De ce que je vois, de ce que je ressens, il semble que je sois prisonnier d'une dictature moins douce, condamné à vivre sous le joug d'un gouvernement méchant, une entité mal intentionnée, qui se cherche en nous frappant dessus, jour après jour. Je me sens de plus en plus au dessus de la mèlée, à vivre ma vie comme bon me semble. Faire ce qui me tente, sans brimer les autres. Pour ce qui est des mesures abusives, les subir le moins possible, pour ménager le coco au maximum. Je me sens comme un rebel, mais je me sens aussi un peu seul dans ma rebellion... Je veux transmettre ma volonté de vivre à tous ceux qui, comme moi, usent de respect, d'ouverture par rapport au message d'Amour que j'ai à communiquer.