Je profite au maximum de chaque journée.

Lundi matin, il fait moins vingt et un, Le soleil semble enfin vouloir être de la partie! Mais comme c'est une véritable congélateur dehors, il faut se mettre dans la tête que pour aller dehors, il faut s'habiller très chaudement! AU sortir d'une autre année de misère, où nous fumes complètement ignorés par ceux qui nous dirigent, ceux que nous avons élus pour représenter nos intérêts, j'ai besoin de tout mon courage pour demeurer calme. La loi martiale se poursuit, avec le maintient du couche-tôt, les gens doivent continuer de se voir le moins possible. Les retaurants sont fermés, les gyms, les cinémas! Je voulais aller voir le dernier Spiderman avec Bernard... impossible de trouver du bonheur en dehors de chez moi! Une véritable Allemagne de l'est. Nous avons même eu droit à une alerte amber pour nous garder dans la peur. Je dois me raisonner tous les jours, à moins que le sujet n'arrive pas dans une conversation, ou par la radio, car le diktat s'infiltre partout où c'est possible. La zizanie est devenue chose courante, les gens sont divisés, déchirés, incapable de trouver un terrain d'entente, je ne vois pas le jour où nous pourrons redevenir un peuple uni, fort et prospère. Franchement, je me dois de mettre de l'eau dans mon eau, car mon vin n'en est plus depuis déjà trop longtemps! Alors je coomence l'année de la même façon que j'ai réussi à passer au travers de la précédente, un jour à la fois. aujourd'hui, c'est un jour de congé férié, mais je devrai recommencer à travailler cette semaine. Et comme mon année financière s'est terminée le 31 décembre, il y aura des papiers à compléter, et tout nous mènera aux impôts. En ces temps très durs financièrement (pour mon entreprise), la période des impôts s'annonce être une véritable beurrée de marde! les choses qui m'ont fait toujours fait chier, me font encore plus chier depuis le début de toute cette supercherie! Donc je profite au maximum de ma journée, sans toutefois me mettre de la pression. Je vais bien, ma Bibi aussi, parlons plutôt de cet anniversaire qui s'en vient, nos noces d'argent! À plus!