samedi 6 février 2021

Affecté par l’oppression.

Un samedi matin ensoleillé, après 10 cm de neige, c’est très beau à regarder. Et puis, ça ajoute beaucoup de lumière dans ce monde remplie de noirceur. Hier, en fin de journée, Martin est passé. Nous avons discuté, assis sur des caisses de lait, de tout et de rien, en dégustant une bière ou deux. Ça m’a fait un bien immense! Ce genre de petit moment, dédié à l’amitié me rend toujours heureux, aide la flamme de la vie à briller vers l’éternité! En lisant «No time like the future», de Michael J. Fox, je me surprends à aimer la joie de vivre de cet homme, qui est au prise depuis trop longtemps avec la maladie de Parkinson. Les deux dernières années, nous avons pédalé pour cette cause. Je m’ennuie de ces bons moments, partagés bénévolement, avec des personnes vraies, des persones authentiques! Et Martin fait partie de ces personnes importantes pour moi! Je m’ennuie de passer du temps avec des gens. Des gens qui me donne de leur énergie, des gens avec qui je suis moi-même, sans avoir peur de les déranger. Des gens avec qui je peux échanger quelques phrases sans faire peur, sans me sentir juger. Au fil des années, j’ai observé ces gens «courir» leur quotidien; ils font de leur mieux, comme moi. Et je les observe vraiment beaucoup quand j’ai la chance de les voir (pas facile depuis 11 mois), et je les sens très affectés par la loi martiale qui sévit depuis bien trop longtemps! Je sens que je suis affaibli, en mettant de côté mon opération, car de ce côté, je vais de mieux en mieux! Affaibli dans ma volonté, dans mon vouloir du changement. La situation actuelle, dirigée par les syndicats, les merdias et appuyée par le gouvernement ($), commence à me faire mettre un genou au sol. Comme si je n’arrivais pas à me relever, conserver mon intégrité, ma cohérence! Je n’en suis pas encore là, mais le désir de changer de vie, de changer mon sort, commence à me tourmenter beaucoup. Je pourrais devenir technicien informatique, un quelqu’un qui fait du soutien informatique. Mais la peur de travailler pour quelqu’un, d’avoir un boss, un chèque de paie...Ouin. Je pourrais avoir ma propre affaire, travailler de façon autonome, comme je le fais depuis plus de vingt ans! Puis, je tente de me ressaisir, de sortir de ma tête, de m’occuper du présent. Ce présent qui nous quitte de plus en plus vite. Ce moment présent qui ne reviendra pas. Je me rends compte que j’ai de la retenue dans mes actes à cause de l’oppression gouvernementale! Je crois que je tiens une solution, dans mon monde parallèle. On s’en reparle.

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Faire en sorte que chaque jour soit une réussite!

Oui monsieur! 20 heures 30, encore dehors en train d'écrire, en écoutant la nouvelle toune de Luke Combs! Sous le gazebo, il fait si bon...